Monday, February 24, 2014

je me prépare à l'examen partiel (4)

« L'homme n'a qu'un remède, et c'est l'homme. » Que pensez-vous de ce proverbe africain? Justifiez votre opinion.

Dans la culture africaine que nous voyons dans l'Appel des arènes, c'est vrai que la communauté traditionnelle sert de remède pour les maux du monde; la soeur de Malaw fuit la ville et retourne à son village et sa famille pour trouver refuge après sa chute et le meurtrier de son enfant. Diaminar est établi en tant que solution aux problèmes du colonialisme. Donc cette société sert de solution pour les hommes qui ont été dominés par les européens. Et Malaw a été le remède quand Nalla était triste après le mort d'André. Et à la fin du livre, ceux qui trouvent du bonheur, ce sont Nalla et son père, et c'est en acceptant la communauté africaine qu'ils le trouvent.
Pour ces raisons je crois que si le proverbe veut dire que la relation traditionnelle entre des hommes est le remède de l'homme, c'est vrai. Dans la ville les hommes ne s'entraident pas; donc ils ne servent pas de remède les uns pour les autres.

je me prépare à l'examen partiel (3)

La ville, espace rectangulaire de la modernité
Avantages

  • la luxe, le confort
    • l'électricité
  • la communication
    • la diffusion des idées
      • le progrès

Inconvénients

  • moins de solidarité --> plus de souffrance
    • exemple: la soeur de Malaw Lô qui a tué son enfant
  • moins de tradition, la tradition se meurt

je me prépare à l'examen partiel (2)

Choisissez une citation de l'Appel des Arènes d'Aminata Sow Fall et retracez (au passé) le contexte de cette citation.

  • Nalla, un petit garçon, est devenu un ami de Malaw Lô, le grand lutteur
  • Malaw et sa compagnie se préparaient à un grand combat. 
    • Malaw allait lutter contre Tonnère, un homme énorme
    • Nalla allait servir de garçon-fétiche; il allait porter le sac de Malaw et le couvrir de lait caillé.
  • "La ville et le pays tout entier se passionnai[en]t pour ce qui sera[it] le combat du siècle"
    • Diattou, la mère de Nalla se sentait ciblé, et nargué, par les gens de la ville
  • Pendant la préparation, la nuit, Nalla quittait sa maison en secret et allait voir Malaw.
  • Une nuit, Ndiogou a découvert que son fils n'était pas dans son lit. 
    • Il a trouvé que Nalla était parti et qu'il avait fermé à clé la porte. 
    • Il a deviné que Nalla était avec Malaw, et il s'est senti jaloux et fâché.
    • Il était 4h du matin; donc, il a décidé de ne pas réveiller sa femme. Et en plus, il ne voulait pas la fâcher.
    • Il a commencé à penser à son père et comment son père aurait dirigé cette situation.
      • Le père de Ndiogou lui aurait parlé hors des regards. Après, il aurait réuni toute la famille, et il leur aurait demandé de raisonner le fils.
      • Ndiogou n'avait plus de famille autour de lui; il ne voyait sa mère que deux fois par ans et ses soeurs, il ne les voyait jamais; il n'avait même pas des amis.
        • Mais Nalla avait Malaw et la communauté de lutteurs
    • Il a pensé à l'isolement de sa famille, se disant: "Trois individus dans un univers, c'est lourd. On peut s'y perdre. Nalla refuse de s'y perdre. Lui, il veut peupler le sien, non pas seulement d'hommes, mais aussi de mythes et de poésie" (p. 125).

Saturday, February 22, 2014

je me prépare à l'examen partiel

(notez que le bon préposition est "à." attention, hein?!)


En classe se semestre, j'ai eu l'occasion de lire quelques chapitres d'un livre par Raymonde Carroll, Evidences invisibles. Dans ce livre, Carroll dit que

1. Comparez brièvement l'attitude des Français et des Américains vis à vis
       a. de la maison
  • les lignes de démarcation sont différentes
    • Français: les frontières en dehors de la maison sont claires
      • les persiennes
      • les palissades
    • Américains: les frontières en dehors de la maison sont moins claires
      • on laisse ouvert les rideaux
      • on n'a pas de persiennes
      • on a de grandes pelouses et il y a une atmosphère plus ouverte
      • dans mon voisinage, c'est acceptable pour des adolescents et des jeunes de traverser la pelouse de quelqu'un d'autre, devant et derrière la maison. Mon voisinage est un très bon exemple de la manque d'espace privée en Amérique car nos palissades ne peuvent pas être plus hautes que trois ou quatre pieds; si oui, il faut qu'il y ait un pied d'espace entre chaque planche. Et puis on a tous de grandes fenêtres qu'on ne couvre pas le soir, et puis il y a un chemin qui se détend derrière et entre toutes les maisons et si on s'y promène on peut regarder à l'intérieur de plusieurs maisons parce que leurs habitants ont oublié de fermer les rideaux.
    • Français: dans la maison, les lignes de démarcation sont différentes pour chacun qui y entre
      • un étranger reste à la porte, un ami peut voir le salon, un ami plus proche la cuisine, et, "à la rigueur," les toilettes. Personne n'entre dans la chambre à coucher des parents!
    • Américains: dans la maison, presque tout est à l'accès libre, selon Carroll,
      • y compris la cuisine, le contenu du frigo, la salle de bains et les toilettes. 
      • Si l'hôte ne veut pas que l'invité voie une chambre, il le dit. 
      • Dans mon expérience, ce n'est pas du tout vrai qu'un invité peut ouvrir un placard dans la cuisine et mange ce qu'il veut, surtout pas lors d'une fête, comme suggère Carroll. Mais c'est vrai qu'il peut entrer dans la cuisine, et s'il demande une verre d'eau, l'hôte va lui dire où se trouvent les verres et il devra en prendre une et la remplir lui-même. Et chez mes cousines, je suis plutôt libre à manger des petits morceaux qui restent sur le comptoir, mais je n'ouvre pas le frigo. En plus, il est interdit d'aller dans la chambre à coucher des parents en Amérique aussi, au moins que le hôte me dise, après qu'il y est entré lui-même, que je peux le suivre.
    • Les Français attendent à ce que leurs invités sachent les règles; les Américains donnent à leurs invités les règles.
       b. des relations parents-enfants
  • Selon Raymonde Carroll, les enfants français se comportent bien/sont sages tandis que les enfants américains sont gâtés/mal élevés.
    • un parent français est responsable devant la société de l'éducation de son enfant
    • un parent américain est responsable devant l'enfant de son éducation; il faut lui donner toutes les opportunités possibles et le laisser devenir ce qu'il choisit de devenir
      • un parent français sait ce qu'il attend de son enfant, au niveau du comportement, etc.
      • un parent américain sait qu'il veut un enfant sage, mais il essaye de ne pas imposer des restrictions sur la personnalité de l'enfant, sur son expression, etc.
        • par exemple, un parent français dirait à son enfant que ses vêtements sont moches--"tu vas vraiment à l'école comme ça?"--mais un parent américain serait fier d'un enfant qui s'est habillé sans aide, même s'il portait un t-shirt à pois et un jean à rayures.